Cheverny, ce château parsemé de coquelicots géants

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La Dame aux coquelicots géants

Constance, marquise de Vibraye (devant l’Orangerie) est la directrice générale du château de Cheverny. Pour elle, les coquelicots sont symbole de liberté, d’adaptabilité, d’endurance et de ténacité,. En plus ils sont rouges comme l’amour. Ils incarnent à merveille Cheverny. Photo © François Collombet
50 coquelicots géants ont jailli entre le château et l’Orangerie, ici, dans le bassin du Jardin des Apprentis. Photo © François Collombet

Ce jardin aux coquelicots entre le château et l’Orangerie

Ces coquelicots géants sont en trains d’être plantés dans le bassin du Jardin des Apprentis. Photo © François Collombet

Le magicien des fleurs

Ce “faiseur” de coquelicots géants c’est Alexis Boyer, un artisan d’art de 26 ans spécialisé dans les sculptures florales monumentales. Les fleurs sont en verre synthétique issu à 50 % de matériaux recyclés. Alexis a rendu possible cette création grâce à un processus et des techniques spécifiques qui permettent de teinter la matière dans la masse et de la protéger des UV. Chaque pétale précise-t-il est issu d’un travail manuel de formage et de finition, permettant d’ajouter des effets, comme les nervures. L’ensemble du processus de fabrication est artisanal et fait à la main, rendant chaque fleur unique. 

Alexis Boyer, 26 ans, qui a roulé sa bosse un peu partout dans le monde est devenu le spécialiste des fleurs monumentales. Ici, devant le bassin du Jardin des apprentis au moment de l’installation de ses coquelicots géants. Photo © François Collombet
Château de Cheverny. Pelouses parsemées de coquelicots géants face à l’Orangerie. Photo © François Collombet

Cheverny, “ce palais enchanté” !

Façade nord du château de Cheverny qui vient d’être restaurée pour redonner au monument l’aspect qu’il offrait au XVIIe siècle. Photo © François Collombet
Jardin de l’Amour, en bordure de la pièce d’eau. Il compte six sculptures monumentales en bronze, oeuvres du sculpteur suédois Gudmar Olovson. décédé en 2017. Il est considéré comme le Rodin suédois. Il était un ami proche de Charles-Antoine et Constance de Vibraye. Photo © François Collombet

Les quatre saisons de Cheverny

Vignoble du château de Cheverny. Il a été planté sur 1,3 ha en sauvignon et chardonnay. Photo © François Collombet
La famille de Vibraye du château de Cheverny connaît très bien le diabète de type 1. Les 3 enfants en sont atteints depuis leur plus jeune âge. Photo tirée de l’affiche présentant dans la salle des trophées, l’exposition tirée de la bande dessinée Escroqueuse. (Photo famille de Vibraye)

Cheverny, ma petite entreprise

Le marquis Charles-Antoine de Vibraye à l’Orangerie semble haranguer ses visiteurs. Il est avec son épouse Constance à la tête de l’entreprise Cheverny qui emploie jusqu’à 70 personnes en haute saison. Photo © François Collombet
Henri Hurault (1575-1648) et sa seconde épouse, Marguerite Gaillard de La Morinière, bâtissent le château entre 1624 et 1630. Ils confient la réalisation des travaux à l’architecte Jacques Bougier (dit Boyer de Blois). Photo © François Collombet

Drame de la jalousie, deux morts à Cheverny

Une lignée presque ininterrompue

La Joconde à Cheverny

Pour destin, un conte de fées !

Le marquis Charles-Antoine de Vibraye devant les écuries à l’entrée des communs du château. Photo © François Collombet

La chasse en héritage !

Les chiens de Cheverny sont issus d’un croisement du fox-hound anglais et du poitevin. Photo © François Collombet
Château de Cheverny et sa Façade en pierre blanche de Bourré. L’un des plus purs exemples d’ordonnance classique des demeures Louis XIII. Au niveau du premier étage, Inspiré par le palais du Luxembourg, les douze niches ovales abritant les bustes des empereurs romains. Au centre, les armes de la famille Hurault. Photo © François Collombet
Renaud Boyer est le régisseur du château. L’avoir pour guide est un honneur. Ici, dans l’escalier d’honneur à rampe droite, bordé de balustrades. Photo © François Collombet

Un escalier monumental de style auriculaire

Cheverny et son artiste blésois, Jean Monier

Chambre du roi, décor peint par Jean Monier. Photo © François Collombet

La chambre du roi

Chambre du roi. Ce lit à Baldaquin qui mesure (2 x 1,60 m) est recouvert de broderies persanes du XVIe siècle. Henri IV y dormit lors d’un passage mais dans l’ancien château. Photo © François Collombet
Chambre du Roi. On doit à Jean Monier, le décor du plafond à caissons, une scène de la mythologie (Persée et Andromède). Les tapisseries réalisées vers 1640 d’après les cartons de Simon Vouet, retracent le périple d’Ulysse. Photo © François Collombet
Cheverny, chambre du roi ornée de tapisseries réalisés vers 1640 d’après les cartons de Simon Vouet par les ateliers de Paris (avant les Gobelins) : illustration du voyage d’Ulysse. Voir également par Jean Monier, sur les portes et le plafond, une illustration de la mythologie de Persée et Andromède. Photo © François Collombet

La Salle d’Armes

Dans la Salle d’Armes, cette tapisserie des Gobelins du XVIIIe siècle, jamais retouchée et aux couleurs étonnamment vives (l’enlèvement d’Hélène, l’épouse de Ménélas, roi de Sparte par le prince troyen Pâris). Photo © François Collombet
La Salle d’Armes. Au dessus de la cheminée Renaissance, on peut voir une toile de Jean Monier, supportée par deux amours : La Mort d’Adonis. Photo © François Collombet

Dans la salle d’armes : « Les Dragons de Cheverny »

La Salle à manger du château

La salle à manger, aux lambris décorés de 34 panneaux peints par Jean Monier (1600-1656). Ils retracent l’histoire de Don Quichotte. La monumentale cheminée de style néo-renaissance est dorée à l’or fin et met en valeur le buste du roi Henri IV. Le mobilier du XIXe siècle est sculpté aux armes des Hurault.  Photo © François Collombet
Dans la salle à manger, l’un des 34 panneaux peints par Jean Monier retraçant l’histoire de Don Quichotte. Photo © François Collombet

Grand salon de Cheverny

Le grand salon. Fauteuils et canapés d’origine, recouverts de superbes Tapisseries d’Aubusson. Une table Louis XVI signée Stockel, ébéniste de la Reine Marie-Antoinette. La harpe fin 18ème siècle est en parfait état de marche. Photo © François Collombet
La bibliothèque contenant 2000 ouvrages. Mobilier Premier Empire avec un bureau estampillé Jacob, principal fournisseur de l’empereur Napoléon 1er. Photo © François Collombet
Cheverny, petit salon-bureau avec écritoire.  Photo © François Collombet

Le château en ses jardins

Jardin potager bouquetier près de la salle des trophées et du chenil, harmonieux mélange de fleurs, de légumes et de graviers de couleurs. Ce jardin est le domaine de la marquise Constance de Vibraye. Photo © François Collombet

Quand Cheverny prend un petit air de mangrove !

Au bout du parc, embarquez pour la Louisiane. Un bateau électrique, qui glisse sur un canal alimenté par le petit affluent du Conon. Vision irréelle lorsque surgissent de l’eau d’immenses cyprès chauves de Louisiane dans une explosion de couleurs ! Mais à la fin de l’automne, ils vont perdre leur parure d’où leur nom de “cyprès chauve”.

Ces cyprès chauves venus des mangroves de Louisiane, à l’extrémité du parc de Cheverny. Seul accès, le bateau électrique ! Photo © François Collombet

Une fin d’après-midi à Cheverny

Dans le calme d’une fin d’après-midi d’été à Cheverny face à un château habité par la même famille depuis 4 siècles. Photo © François Collombet

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